Claude BARNIER est le premier vigneron connu de la famille.

Dans ce temps lointain, on plantait des vignes sur les côteaux champenois car ils étaient peu propices à l’agriculture.

A sa suite, c’est Léon BARNIER qui reprends les vignes. Il va subir la crise phylloxérique qui va toucher toute la Champagne au début des années 1900.

Grâce au système du porte greffe la Champagne se relèvera de cette crise.

Il existe encore aujourd’hui des parcelles plantées par Léon BARNIER sur notre vignoble, ces parcelles entrent dans la composition de notre 100 % Meunier. 

Le pressoir GUENON à Villevenard en pleines vendanges.

Le pressoir GUENON à Villevenard en pleines vendanges
ROGER BARNIER

Roger BARNIER

Avant de devenir vigneron, Roger BARNIER, le fils de Léon BARNIER, part faire ses armes en tant que cuisinier dans un palace parisien avec son frère Yvon.

Après quelques années à Paris, Roger BARNIER revient sur l’exploitation familiale et est le premier membre de la famille à élaborer ses propres cuvées en devenant Récoltant Manipulant. 

Au cours de la seconde guerre mondiale, Roger BARNIER sera fait prisonnier en Allemagne.

Pendant sa détention et jusqu’à son retour 5 ans plus tard, c’est sa femme, Julia BARNIER, qui prendra en main le vignoble et la vinification en plus de son travail d’institutrice du village.

Elle continuera de cogérer le travail à la vigne et en cave jusqu’à l’arrivé de son petit-fils.

Julia BARNIER

JULIA BARNIER

Jean BARNIER

Jean BARNIER

Par la suite, c’est leur fils, Jean BARNIER, qui reprendra l’exploitation.

Au début de sa carrière, Jean travaille les sols avec une mule.

Il a connu l’apparition progressive de la chimie et des engins motorisés dans les vignes qui lui faciliteront le travail et modèleront le vignoble champenois tel qu’on le connait.

Aujourd’hui c’est Frédéric BERTHELOT, le petit fils de Roger BARNIER, qui est devenu le dépositaire du style Roger BARNIER.

La maison exploite environ 8 Ha de vignes réparties sur plus de 42 parcelles entre Villevenard et Broyes.

Fort des expériences de son grand-père et de son oncle, Frédéric est passionné de cuisine et a à cœur de travailler le vignoble dans le respect de la terre et des terroirs.

Il oriente progressivement le style de la maison vers des Champagnes plus gastronomiques et développe la gamme.

C’est comme ça qu’apparait la cuvée l’Oubliée en 2005, puis le 100 % Meunier en 2009 et enfin les cuvées parcellaires des lieux-dits : Les Bacons en 2016, les Chauffours en 2017 et les Foulonnes en 2019.

Frédéric BERTHELOT

Frédéric BERTHELOT
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